Il pleut, il ne pleut pas, il pleut...
Le temps qui passe, le temps qu'il fait, pour nous modélistes qui naviguons chaque dimanche, ce sont nos préoccupations essentielles. Le billet "du phare" du vendredi en témoigne l'importance.
La grosse pluie du début d'après-midi a laissé place à un ciel plus clément qui nous a permis de nous retrouver et naviguer avant un nouveau déluge.
Tous ces bateaux vous les connaissez déjà mais nous ne nous lassons pas de les revoir sous des angles différents et dans d'autres conditions de navigation.
Aujourd'hui, j'ai eu envie de mettre en valeur leurs reflets, le coté plus poétique de notre passion. Qu'ils soient en bois, en composite, en carbone, peut importe, ce sont nos bateaux avec ce qu'ils représentent à nos yeux.
C'est l'histoire d'un canard qui ne savait pas nager
Il y a parfois des belles rencontres. Sous une forte pluie, un canard perdu, seul, rencontre un bateau. Pas sauvage, le voilier ne se sauve pas, le canard passe son chemin.
Jalousie, vengeance, simple signe du destin ... Le canard a oublié qu'il ne savait pas nager ou peut-être a t-il avalé trop d'eau mais il a bien failli terminer ses jours sous nos yeux.
L'histoire aurait pu s'arrêter là mais c'était sans compter sur le voilier, ou plutôt son skipper avec sa canne et sa balle de tennis.
La pauvre bête a juste gardé la tête hors de l'eau, prête à sombrer à la moindre vaguelette.
L'histoire du canard n'est pour autant pas terminée, pour en connaitre la suite rendez-vous dimanche prochain au bord du lac.
Et quelques kilowatt/heure plus tard, le offshore de Didier a évolué sans donner satisfaction à son propriétaire à tel point qu'il en a laissé toute sa transmission au fond du lac, hélice comprise.
DPO